Se former avec CESI : la meilleure option pour garantir son avenir professionnel
Dans cette page :
- L’apprentissage
- Une pédagogie adaptée aux évolutions et aux besoins du marché
- Des formations complètes, axées sur la pratique et le partage d’expériences
A la recherche d’une formation de niveau bac +2, bac +3 ou bac +5 pour la prochaine rentrée ?
Découvrez comment CESI dépasse les difficultés liées à la crise sanitaire pour mener ses étudiants sur le chemin de la réussite !
L’apprentissage à CESI
Mis à mal par la crise sanitaire puis soutenu par le plan de relance de l’État, l’apprentissage a réussi l’exploit de battre son précédent record avec 440 000 contrats conclus en 2020 ; une réussite mais aussi un défi pour les organismes de formation et leurs apprenants qui font face à un contexte économique et social sans précédent.
Comment poursuivre les enseignements, maintenir le lien social avec les étudiants, les accompagner dans leurs apprentissages et dans leur chemin vers l’emploi ?
Dès le premier confinement en mars 2020, CESI École Supérieure de l’Alternance a pu assurer 100% de continuité pédagogique pour l’ensemble de ses filières et de ses campus, grâce à des outils numériques adaptés.
Sophie Duval, directrice de l’école.
Une décision forte, qui a permis à la fois de garantir la formation des alternants de l’école mais également leurs interactions sociales, « si importantes en cette période difficile pour tous ». Du côté de la recherche d’entreprises, l’école accompagne de près ses élèves, notamment via des ateliers pratiques qui leur permettent de valoriser leur profil, mais aussi au travers d’événements avec des entreprises partenaires.
Ces dispositifs mettent en lumière l’engagement de CESI École Supérieure de l’Alternance, qui fait tout pour soutenir cette « génération Covid » et lui assurer un avenir professionnel.
En tant que lycéen, ces garanties d’accompagnement sont autant de raisons de faire le choix de l’apprentissage avec CESI École Supérieure de l’Alternance, au moment de formuler ses vœux d’orientation sur Parcoursup.
Vous êtes en terminale, titulaire d’un bac général, technologique, professionnel ? Vous avez l’équivalent d’un bac +1 ? Vous pouvez dès à présent candidater en ligne – sur la plateforme parcoursup.fr – à 16 parcours de formations en alternance de l’école. À la clé : un diplôme de niveau bac +2 ou bac +3, une poursuite d’études possible jusqu’en bac +5, et une insertion optimale sur le marché du travail !
Une pédagogie adaptée aux évolutions et aux besoins du marché
Avec près de 15 000 alternants formés en 2020, CESI a développé une grande palette de formations adaptées aux envies et compétences de chacun.
Rejoindre les bancs de cette école, c’est avant tout choisir une formation au plus près des attentes du terrain. L’école d’ingénieurs a depuis toujours axé ses enseignements sur l’acquisition de compétences professionnelles.
Nous proposons une pédagogie nouvelle, adaptée aux évolutions et aux besoins du marché. Grâce à la proximité avec nos entreprises partenaires, nous avons construit nos parcours de formation autour des compétences métier essentielles pour maîtriser le poste choisi.
Sophie Duval
L’école ne se contente pas de transmettre des savoir-faire (hard skills), elle met aussi particulièrement l’accent sur le savoir-être de ses étudiants (soft skills).
Ces derniers sont encouragés à développer des compétences comportementales telles que l’autonomie, la flexibilité, le leadership, l’éloquence, l’esprit d’équipe, la créativité, l’aisance relationnelle… autant de forces pour préparer leur avenir professionnel !
Des formations complètes, axées sur la pratique et le partage d’expériences
Pour favoriser ces apprentissages, l’école a développé une approche pédagogique unique, divisée en trois temps forts tout au long du cursus.
L’apprentissage par l’échange se traduit par des séquences animées par des experts-métiers, qui partagent leurs expériences avec les élèves, les forment et les aident à affiner leurs projets professionnels.
CESI s’engage à orienter au mieux chaque apprenant suivant ses motivations, tout en lui offrant la possibilité d’échanger régulièrement avec des experts-métiers, qui accompagneront l’élève lors de son apprentissage en le conseillant sur ses axes d’amélioration.
Ces interventions sont complétées par la réalisation de projets collaboratifs, nommés CUBES, qui permettent de résoudre une problématique ou de conduire un projet, en petits groupes, sur la base d’une situation d’entreprise reconstituée : « Ce dispositif permet non seulement un apprentissage par les pairs, mais également par l’expérience, tout en stimulant la force de proposition et la créativité des élèves ».
Ce mode d’enseignement est favorisé par une organisation des cours qui laisse une grande place à l’expérience sur le terrain : au rythme d’une semaine à l’école suivie de trois semaines en entreprise, les apprentis mettent en pratique leurs savoir-faire et savoir-être durant les ¾ de leur parcours. Ces expériences, combinées aux apprentissages techniques, leur permettent de développer et de valoriser leurs compétences au fil de l’eau.
CESI s’engage à accompagner durablement ses apprenants à travers un processus pédagogique complet qui conjugue l’ensemble
Sophie Duvalsdes compétences nécessaires. L’objectif est de permettre à l’apprenant d’adopter une conduite qui convienne à la vie professionnelle qu’il souhaite mener afin de l’y préparer au mieux. »
Avant de rejoindre, en 2020, les équipes normandes de LINEACT CESI sous le thème « Apprendre et Innover » en tant qu’enseignante-chercheuse, quelles ont été tes motivations à soutenir ta thèse sur le secteur des PME face aux innovations ?
Ce sujet de thèse fait suite à une étude que j’avais menée, au sein du laboratoire LINEACT CESI en tant qu’ingénieure de recherche sur le niveau de maturité des PME en terme d’innovation. Les résultats de cette étude ont révélé que les dirigeants de PME cherchaient à innover, mais ne savaient pas toujours comment le faire : les stratégies et les démarches d’innovation au sein des PME ne sont pas totalement structurées.
Le laboratoire LINEACT CESI a la volonté de soutenir les PME dont les ressources humaines et matérielles sont plus limitées que les grands groupes, et je partage pleinement ces valeurs. C’est pourquoi, j’ai orienté mon sujet de thèse sur l’innovation dans les PME et plus particulièrement sur les pratiques d’innovation ouverte. L’objectif de mon doctorat était de comprendre comment les caractéristiques (organisationnelles, stratégiques et environnementales) des PME peuvent impacter l’adoption des pratiques d’innovation.
La réalisation de cette thèse n’a pas été une mince affaire et a nécessité de relever de nombreux défis. Le premier a été de réussir à articuler mon travail d’enseignante qui demande beaucoup d’implication avec mon travail de thèse qui est exigeant. Le deuxième défi a été la difficulté pour mobiliser les dirigeants de PME pour répondre à mon questionnaire d’enquête. Néanmoins, pour relever chacune de ces difficultés j’ai eu la chance d’être aidée et soutenue par de nombreuses personnes CESI.
Effectuer cette thèse dans le secteur des PME a été très enrichissant, cependant j’aimerais essayer de mener des recherches sur d’autres secteurs, plus larges, comme l’innovation dans les écosystèmes, dans les clusters ou encore sur les territoires pour essayer d’accompagner les décideurs de ces entités dans la prise de décision, toujours dans un domaine très applicatif. Par exemple, aujourd’hui, je monte des projets de recherche avec des partenaires scientifiques intra-européens de LINEACT CESI pour faire un état des lieux de la situation des entreprises en cette période de crise sanitaire, identifier quels ont été les impacts économiques et sociaux, puis d’exposer les bonnes pratiques à garder, ou celles à améliorer. L’objectif sera de tirer des bénéfices concrets de cette crise sanitaire, qui à titre d’exemple semble accélérer la transition numérique et les rapports à l’environnement. Ces projets de recherche sont déposés sur deux à trois années, et permettent d’identifier les axes sur lesquels nous souhaiterions nous concentrer dans les prochaines années.
Pour la suite, j’aimerais rester dans le domaine de la recherche en innovation. J’envisage d’encadrer des thèses et de publier des articles pour pouvoir passer mon HDR (habilitation à diriger des recherches) et évoluer vers un poste de directeur de recherche.